Книга: Gilbert Henry «Robin Hood»
Серия: "Wordsworth Children's Classics" Robin Hood is the best-loved outlaw of all time. In this beautifully illustrated edition, Henry Gilbert tells of the adventures of the Merry Men of Sherwood Forest - Robin himself, Little John, Friar Tuck, Will Scarlet and Alan-a-Dale, as well as Maid Marian, good King Richard, and Robin's deadly enemies Guy of Gisborne and the evil Sheriff of Nottingham. Издательство: "Wordsworth" (1994)
ISBN: 978-1-853-26127-5,978-1-85326-127-5 Купить за 222 руб в My-shop |
Другие книги автора:
Книга | Описание | Год | Цена | Тип книги |
---|---|---|---|---|
Robin Hood | Книга представляет собой репринтное издание. Несмотря на то, что была проведена серьезная работа по… — Книга по Требованию, - Подробнее... | бумажная книга |
Gilbert Henry
Gilbert Henry | |
|
|
Naissance | 21 septembre 1920 Maxey-sur-Meuse |
---|---|
Origine | France |
Grade | Général de brigade |
Conflits | Seconde Guerre mondiale Indochine Algérie |
Commandement | 41e Régiment d'Infanterie Chef de l'état-major des Goums marocains |
Distinctions | Grand officier de la Légion d'honneur Croix de guerre 1939-1945 Croix de guerre des TOE Croix de la Valeur militaire |
Autres fonctions | Responsable de l'enseignement général des Écoles militaires de Saint-Cyr-Coëtquidan (1962 à 1967) |
modifier |
Gilbert Henry, né le 21 septembre 1920 à Maxey-sur-Meuse, est un général de l'Armée française, Grand officier de la Légion d'honneur[1], qui participa à la Seconde Guerre mondiale et plusieurs autres conflits internationaux.
Sommaire |
Seconde Guerre mondiale
À la sortie de St-Cyr, il s'engage dans la Légion étrangère et rejoint le 1er régiment étranger d'infanterie de marche avec lequel il participe à la campagne de Tunisie en 1943 face à l'Afrika Korps, puis au débarquement de Provence à Fréjus, aux campagnes de la Libération, d'Allemagne et d'Autriche jusqu'au Vorarlberg avec le régiment de marche de la Légion étrangère au sein de la 5e division blindée, de 1944 à 1945, sous le commandement du charismatique Général Jean Olié.
Cochinchine, Cambodge et Tonkin
La Seconde Guerre mondiale terminée, il embarque à Marseille, en mars 1946, pour Saigon sur le Johan de Witt, toujours pour le RMLE, rebaptisé 3e régiment étranger d'infanterie, le régiment le plus décoré de la Légion étrangère et le second le plus décoré de France (le premier étant le RICM). Un bon tiers de la troupe était composé d’Allemands, moins de 10 % de Français. Une troupe bigarrée allant des vétérans de l’Afrika Korps aux jeunes recrues formées en quelques semaines à Sidi bel-Abbès. Quelques désertions ponctuent la traversée au passage de Suez. Un mois plus tard, le Johan de Witt arrive à Saigon où le Lieutenant Henry est instructeur des élèves gradés du 1er Bataillon du 3e REI et conduit des missions de maintien de l’ordre.
Il part, en août 1946, avec son peloton d'élèves gradés, accompagné de deux autres sections et d'un peloton de chars, avec pour mission de reprendre le contrôle de la zone de Siem Reap et des temples d'Angkor alors occupée par un groupe de 300 Khmers Issarak. Les opérations sont bouclées avec succès. Elles allaient être entérinées, quelques mois plus tard, par un accord avec la Thaïlande qui restitua ces territoires à la France, le 17 novembre 1946[2].
Cette période marque aussi la reprise de la guérilla dans le sud, des accrochages et des actions terroristes au Nord. Le bombardement du port de Haiphong par la France est suivi, le 19 décembre, par le soulèvement général Viêt Minh au Tonkin. La première Guerre d'Indochine a démarré. Celle-ci aura beaucoup moins de retentissement en France que celle d’Algérie et reste encore un sujet obscur pour le public. Le fait qu’aucun appelé du contingent n’y ait participé en est une explication.
Il réembarque immédiatement sur le Jules Verne direction Haiphong, port du Tonkin, avec comme premier objectif de rendre les voies de communication dans le delta libres et de contrôler la route coloniale no 5 jusqu'à Hanoï.
Début 1947, le Commandement supérieur français décide de soutenir Nam Dinh et délivrer une section de coloniaux qui s'y trouvait. Il participe et mène une série d’opérations dans cette région[3].
C'est près de Hai Duong, que le lieutenant-colonel Jean Simon, fraîchement arrivé à la tête du 3e REI, vient épauler cet officier, seul officier rescapé de sa compagnie en partie décimée, résistant avec celle-ci aux embuscades du Viêt Minh.
Ces différentes opérations (« Opérations Djebel » et autres) ont permis le contrôle de la région autour de Nam Dinh et apportent au drapeau du bataillon la Croix de guerre avec palme.
Affaires indigènes - Protectorat du Maroc
Suit un intermède de deux ans en Allemagne, au 20e bataillon de chasseurs portés (BCP) aujourd'hui renommé 20e bataillon de chasseurs alpins, avant le départ en 1949 pour servir au Maroc.
Il est alors, pendant sept ans, jusqu'en 1956, aux A.I. (Affaires indigènes), d'abord dans le Rif (Ouezzane, Arbaoua, Teroual) puis à Rabat où il est promu chef de l'état-major des goums marocains. À ce titre, il est décoré officier de l'ordre de l'Ouissam alaouite par le roi Mohammed V du Maroc.
Le 9 mai 1956, à N'Kheila, près de Rabat, dans le quartier du 1er tabor marocain, en présence des 41 goums, il rend les derniers adieux au drapeau unique des goums marocains, ce même drapeau que le général de Gaulle leur avait remis à Paris, le 14 juillet 1945. En exécution des accords de Paris, ils étaient dissous et transférés à l'Armée royale marocaine.
À 36 ans, il retourne en métropole, à Coëtquidan, commander le bataillon de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr (ESM) de 1957 à 1959.
Guerre d'Algérie
Les « événements d'Algérie » (selon l'appellation de l'époque) le font rappeler d'urgence vers une partie du monde qu'il connaît bien et dont il a appris la langue. Dans le cadre du plan Challe, il s'envole vers l'Algérie pour prendre le commandement du 1er Bataillon du 7e régiment de tirailleurs algériens. Il participe en 1960-1961 au succès de l'opération Trident dans les Aurès-Nementcha (Wilaya 1), zone de cache et de passage clandestin des armes, point névralgique du conflit qui, bien que militairement quasi-remporté en 1961, se jouait désormais au niveau politique.
La tentation du putsch fut écartée.
Retour à l'École
Il devient Directeur de la « Pompe », autrement dit responsable de l'enseignement général des Écoles militaires de Saint-Cyr-Coëtquidan de 1962 à 1967, alors placées sous le général Jean Simon, son « bon Samaritain » de Hai Duong, puis le général Alain de Boissieu, gendre de De Gaulle. Il est promu Commandeur de la Légion d'honneur en 1966.
Chef de corps du 41e régiment d'infanterie de ligne à la Lande d'Ouée en 1967-1970.
Nommé général de brigade, adjoint au commandant de la 33e Division à Nantes, il décide de mettre un terme à sa carrière militaire en octobre 1973.
« Il est préférable de laisser à d'autres le soin de raconter ses campagnes » confiait-il lors de la parution, en 1992, du Mémorial de sa Promotion Maréchal Pétain (1940-1942)[4].
Décorations principales
- Grand Officier de la Légion d'honneur
- Croix de guerre 1939-1945
- Croix de guerre des Théâtres d'opérations extérieures
- Croix de la Valeur militaire
- Officier de l'ordre de Ouissam alaouite
- 11 citations (dont 3 à l'ordre de l'Armée)
- Insigne des blessés militaires - blessé quatre fois
Notes et références
- Décret du 12 juillet 2000 portant élévation à la dignité de grand officier de la Légion d'Honneur. Publication Journal Officiel.
- carte d’état-major du Delta du Mékong Voir la
- carte d’état-major de la région de Hai Duong/Nam Dinh Voir la
- Jean Lebas, ESM Aix en Provence - Promotion 1940-1942 Maréchal Pétain, Éd. du Paquis (Héricourt) 1992, spécialement p. 89 et p. 168.
Bibliographie
- Jean Lebas, ESM Aix en Provence - Promotion 1940-1942 Maréchal Pétain, Éd. du Paquis (Héricourt) 1992
Articles connexes
- Légion d'honneur
- Képi blanc, le magazine de la Légion étrangère
Liens externes
- Général français du XXe siècle
- Militaire français de l'armée de Vichy
- Militaire français de la Seconde Guerre mondiale
- Élève de l'École spéciale militaire de Saint-Cyr
- Naissance en 1920
- Naissance dans les Vosges
- Officier de Légion étrangère
- Grand officier de la Légion d'honneur
Источник: Gilbert Henry
См. также в других словарях:
Robin Hood — is an archetypal figure in English folklore, whose story originates from medieval times but who remains significant in popular culture where he is painted as a man known for robbing the rich to give to the poor and fighting against injustice and… … Wikipedia
Robin Hood — Saltar a navegación, búsqueda Para otros usos de este término, véase Robin Hood (desambiguación). Estatua de Robin Hood en el Memorial de Nottingham. Robin Hood es un arquetípico héroe del folclore inglés … Wikipedia Español
Robin Hood — es un personaje legendario evocado en baladas medievales inglesas que forman un cuerpo de unas treinta. En algunas de ellas se basó el escritor e ilustrador estadounidense Howard Pyle (1853 1911) para escribir e ilustrar Las alegres aventuras de… … Enciclopedia Universal
Robin Hood — in old English stories, a man who lived as an ↑outlaw (=someone who does not obey the law and is hiding from the authorities) in Sherwood Forest in central England, with his followers, known as his Merry Men . These include Friar Tuck, Little… … Dictionary of contemporary English
Robin Hood — (spr. robbin hudd), der Held einer Reihe altenglischer Volksballaden, war der Sage nach ein Earl of Huntingdon, der unter Richard I. (gest. 1199) als Geächteter mit seinen Getreuen im Walde von Sherwood lebte, den Armen und Bedrückten gegen ihre… … Meyers Großes Konversations-Lexikon
Robin Hood — [ rɔbɪn hʊd], Held vieler englischer Volksballaden des 14. und 15. Jahrhunderts; charakterisiert als ausgezeichneter Bogenschütze, der als Vogelfreier und edel gesinnter Anführer einer Schar von Getreuen (darunter Little John, Friar Tuck und… … Universal-Lexikon